2ème Match de pré-saison contre Rouen à Sotteville.

un clutch player,c'est un joueur qui demande la balle en fin de match pour faire la decision et qui sait qu'il va faire tourner le match style delaney rudd par exemple. hors l'an dernier personne ne pouvait faire cela. nicevic n'a jamais eu un gros mental. je crois t'avoir deja rencontré au tennis de table et si mes souvenirs sont bons, toi aussi tu avais un petit mental.tes nerfs lachés facilement.

Ton prénom ne serait pas Fred mon cher Brian Sallier?

Pour te répondre, c'est vrai que je n'avais pas toujours une attitude de guerrier dans l'adversité et que je laissais (trop) facilement tomber.

De toute façon, c'est bien loin tout ça puisque ça date du tout ou notre ami Sallier fréquentait la Rotonde (Ah le bon vieux temps cette Rotonde).

Si on prend ta définition du clutch player, on n'en a de toute façon pas beaucoup eu au Mans des vrais joueurs décisifs dans les fins de match (le top du top étant Jennings à mon avis, du moins dans les joueurs manceaux que j'ai pu voir).

je te laisse encore deux chances pour me trouver. pour jennings là je suis ok avec toi. cette année on n'aura pas encore de clutch player mais beaucoup de joueurs qui pourront tuer un match.et ça je trouve que ces une force.

c'est une force

Pour trouver, il me faudrait un petit indice car la base des personnes avec qui ou contre qui j'ai joué est assez importante.

Help me please!!!

tellement de massages que je ne sais plus qui l'a dit , mais il est primordial effectivment que le style de jeu présenté soit plus alléchant que les années passées .
le clutch on ne l'a pas sur les tablettes c'est sûr mais on va le découvrir en cours de saison

gregory va surement nous manquer pour sa capacité en 1contre 1 en euroleague car il y a des soirs où le collectif ne passera pas

Franck Butter a écrit:

2- Le collectif c'est bien mais j'espère que l'on n'oublie pas la dimension individuelle de ce sport. Car quand tout est bloqué, quand la balle ne circule plus, ce sont toujours des exploits individuelles qui remettent l'équipe sur les rails ou font gagner des matchs. Voir si un joueur cette année est capable de faire ça. Autre interrogation car ce n'est pas évident contrairement aux autres années.

Le basket est avant tout un sport collectif (comme ça a été dit par un forumeur dont j'ai oublié le pseudo), et pour gagner un titre il faut un bon collectif.
Après, les exploits individuels peuvent faire gagner des matchs, pas un titre, c'est certain!

On dirait dès fois qu'on écrit pas français les gars...
Je ne dis pas le contraire de ce que tu viens de dire. Je dis simplement qu'un titre se gagne par le collectif ET les individualités. Ce qui est une tautologie mais semble oublier dans vos commentaires.

Après il est évident que si des exploits individuels peuvent faire gagner des matchs, ils peuvent aussi faire gagner un titre, puisque la finale, et c'est regrettable, se joue sur un match. Le titre nous est offert par Besok il y a deux ans.

Il n'y avait pas QUE Besok! Chacun avait donner sa pierre a l'édifice!

Je ne saboterai le travail des éducateurs en te répondant

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Franck Butter a écrit:

On dirait dès fois qu'on écrit pas français les gars...
Je ne dis pas le contraire de ce que tu viens de dire. Je dis simplement qu'un titre se gagne par le collectif ET les individualités. Ce qui est une tautologie mais semble oublier dans vos commentaires.

Après il est évident que si des exploits individuels peuvent faire gagner des matchs, ils peuvent aussi faire gagner un titre, puisque la finale, et c'est regrettable, se joue sur un match. Le titre nous est offert par Besok il y a deux ans.

Et qui a tiré l'équipe vers le haut au moment où elle était au fond du trou ? Ni BESOK ni GUICE qui étaient sur le banc. Ce sont les jeunes, J.D. + Kenny et Eric qui ont remis l'équipe sur les bons rails à ce moment là. Donc, les plays offs + le titre c'était bien un travail d'équipe. S'il y a eu titre, c'est bien grâce au collectif et au pari de Vincent de titulariser la jeune garde française dans le 5 majeur. Personne d'autre que lui n'aurait fait ce pari là. Et même si la finale se joue sur un seul match, encore faut-il être capable de se qualifier pour aller à Bercy

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